Un sujet qui vous tracasse certainement. Je partage votre état, sachez-le. Oui, une poule c’est cool. Oui, en avoir une, doit être encore plus cool. Explications.
J’ai été invitée par ma copine Catherine Cervoni à une rencontre blogueur autour du concept Farmili à La parenthèse.
Suite à son invitation, je n’ai retenu qu’une seule chose: je vais voir des poules.
Et les poules, moi j’aime bien, cela me rappelle mon enfance. Quitter le bureau en disant "je vais voir des poules" quand on est à Lyon, est tellement inhabituel, que cela en devient motivant.
De plus, le double sens du mot "poule" permet un nombre infini de blagues de mauvais genre. C’est encore plus motivant.
J’ai retenu quelques informations (celles qui m’ont fait sourire, forcement). Alors…
Le saviez-vous?
Plus on laisse une poule se promener, plus elle est heureuse et plus ses œufs sont beaux. Quel chantage ! Les poules échangent donc leur liberté contre la qualité de leurs œufs !
Alimentation. Il n’existe pas de biscuits pour poule et la viande les rends agressives. Cela doit venir des hormones. Je ne vois que cela. Les poules sont des filles comme les autres finalement ! ;-)
Une poule sait reconnaitre 200 mots différents. (La perspective de dresser une poule pour la faire chanter en prononçant "cornichon" est plutôt séduisante !)
Il n’est pas possible d’amener sa poule en vacance sur la côte d’Azur, ni de dormir avec. Tant pis.
Sérieusement. Guislain Journé, l’homme qui à l’origine du projet Farmili, et de ces poulaillers préri-urbains est un véritable passionné. L’écouter est un plaisir.
Le concept Farmili c’est de pouvoir créer sa propre mini ferme, clés en main. Et cela, en quelques clics.
Personnellement, je suis plutôt convaincue, ma seule frustration : ne pas avoir de place pour avoir la mienne !
Je vous invite à visiter son site : Farmili.com et son blog : L’écho de la basse cour pour plus d’informations !
Merci à Guislain Journé, à l’agence 14 Septembre Grand Sud et à Catherine Cervoni pour cette belle soirée !
Ah ah j’adore ton résumé ! C’est vrai que le coup des 200 mots reconnus nous a scotchés !