Voici un extrait de l’homélie du Père David ce dimanche à Sainte Blandine.
Il n’y a rien à ajouter.
Samantha Jimenez
Retrouvez l’homélie dans son intégralité sur le site: https://egliseconfluence.fr/Site/
Voici un extrait de l’homélie du Père David ce dimanche à Sainte Blandine.
Il n’y a rien à ajouter.
Samantha Jimenez
Retrouvez l’homélie dans son intégralité sur le site: https://egliseconfluence.fr/Site/
Tout a commencé dans une salle étroite de mon lycée, le lycée Charles Poncet en Haute-Savoie. Un cours de français presque comme les autres, sans savoir qu’une simple annonce allait changer le cours de ma vie.
Cette grande dame qui n’est autre que la femme qui m’apprit à changer mes « ça » en « cela » nous fit une annonce. « Nous avons été choisis pour participer à Lycéens à l’opéra »
Et un beau matin quelques mois plus tard nous cheminions déjà vers : LYON.
Je me souviens encore de mon émotion lorsque mes yeux posaient pour la première fois leur regard sur les quais de Saône. L’alchimie de l’amour commençait déjà à m’emporter.
Le thème de la journée était CULTURE, nous avions passé toute une après-midi au musée des Beaux-Arts. J’avais été sommée par ma prof de rester à ses cotés, non pas que je sois pénible mais « Samantha je veux vous apprendre à gérer votre spontanéité » me disait-elle. Oui, je parlais déjà beaucoup. Hum.
Mais ce n’est pas au musée que le véritable coup de foudre eu lieu.
J’avais prévu par respect pour l’opéra de m’apprêter, chose qui n’était pas venue à l’esprit de mes camarades. Après quelques achats d’accessoires de dernière minute chez Zara, rue de la République, avec quelques copines de classes nous nous étions installées aux Arcades.
J’avais revêtu en quelques minutes ma robe de bal et il ne me restait plus qu’à admirer l’opéra si joliment éclairé de nuit.
Plus tard, je prenais les escalators malgré la peur de tomber à l’arrivée par la faute de mes talons trop haut pour mon jeune âge afin d’aller m’installer au premier balcon. Le spectacle de Jiri Killian était magnifique, j’étais conquise.
Mais tout a basculé lors de l’entracte.
Alors que j’étais sortie sur le porche pour fumer une cigarette et que le vent caressait mon visage, je ne pouvais cesser de me dire « Que c’est beau ».
C’est alors que je pris une décision d’adolescente qui sonnait comme une promesse d’avenir : « Plus tard quand je serai femme, je viendrai vivre à Lyon » Depuis ce coup de foudre, mon amour pour Lyon n’a jamais cessé de grandir et je suis très heureuse d’avoir aujourd’hui pu réaliser mon rêve.
Vivre Lyon.
Samantha Jimenez
Je viens vous parler sans aucune objectivité des personnages de contributeur Lyon mag et tout en étant consciente que je vais leur faire un peu de pub. Mais cela ne me dérange pas car au fond, j’ai une certaine affection pour eux.
Notre belle ville de Lyon est pleine de choses uniques et insolites, j’ajouterais à son patrimoine LE contributeur Lyon Mag.
Mais qui est-il ?
C’est un homme sorti de l’ombre par un mélange d’absurdités et de vérités qui peuvent déranger. Il cogne, il n’a pas peur, il est convaincu d’être un justicier libre de sa parole.
Attention, je ne viens pas dire que je suis en accord avec tout ce qu’il écrit d’où le terme d’absurdité ! Il ne faut pas se voiler la face toutes les contributions ne font pas toujours avancer le débat. Il faut néanmoins avouer que certaines ont le mérite de faire glousser tel ou tel partisan heureux de voir une vérité éclater alors que lui-même n’aurait pas osé s’exprimer sur le sujet.
Ce sont donc tous ces éléments qui les rendent tous absolument détestables.
Et car je suis gentille, jeune, insouciante mais surtout tolérante c’est ce qui me permet de les apprécier !
Je suis certaine qu’ils doivent tirer une part de jouissance de cette place d’ennemi public numéro un mais il faut une certaine part de courage pour exister car on est détesté. Un courage que je n’ai pas (encore) personnellement malgré ma liberté de parole !
Laissez-moi-vous dire quelques mots sur ceux que je connais, du moins IRL.
@BdeValicourt mon préféré, je dois l’avouer il m’a agacée mais il m’a aussi beaucoup fait rire. J’attends avec impatience le moment où il parlera de nos amis socialistes…
@Lemediapol je ne le connais encore que très peu et bien qu’il soit moins détestable que les autres, il écrit d’une manière très intelligente qui n’a pas fini de me séduire…
@RomainBlachier Bon… Je cherche souvent l’intérêt de ses billets mais j’ai hâte de l’entendre se défendre pendant la campagne de ne pas être socialiste, plaisir personnel…
Je ne me risquerais à aucune conclusion au risque de trop les encourager! Oh wait!
Samantha Jimenez
Ils étaient là, leurs vies ne s’étaient pas arrêtées, au contraire, elles prenaient un sens pour quelques heures.
Ils n’avaient rien en commun, ni l’expérience, ni les mêmes ambitions.
Ils savouraient chaque instant comme si c’était le dernier, leurs non points en communs rendaient l’aventure interdite, excitante.
Le fait de savoir que cela ne mènerait à rien rendait les risques moins grands.
Et pourtant.
Le bonheur lui est là, un bonheur simple.
Ils partageaient quelque chose pendant un moment, la joie de pouvoir s’abandonner, oublier leurs vies avec un égocentrisme presque scandaleux.
Le plaisir de savoir que l’autre est une conquête, une victoire personnelle.
Ce bonheur est éphémère, le plaisir est grand.
Ils savourent un de ces instants où la vie dénuée de sens n’en est que plus intense.
Une histoire non définie, une histoire sans début, sans fin car elle n’a pas lieu d’exister.
Elle n’existe pas d’ailleurs.
L’histoire ne compte pas, seule l’intensité compte.
Une vie en émoi pour quelques instants.
Ils ont une vie d’écart mais le bonheur réside dans un seul regard.
Celui que l’on peut nous porter pour quelques instants volés.
Ces mots vous laissent songeurs ? Et bien moi aussi…
Aux Rodolphe de nos vies.
Samantha Jimenez
Il y a des jours sans où je n’ai envie de rien, logique, il parait que c’est humain ! Et je suis certaine que vous aussi…
Néanmoins, j’ai fait cette superbe découverte, il suffit d’un sourire ! Il ne s’agit pas de rivaliser avec les sourires édentés des pubs de dentifrice, un simple sourire en coin suffit !
Comment ?
Pas facile quand les impôts, les factures, les enfants malades, les collègues chiants vous minent le moral mais bon nous avons tous une anecdote honteuse personnelle, familiale ou encore d’un ami qui redonne le sourire à coup sûr !
(Attention : il ne faut pas que l’anecdote soit trop drôle sous peine de vous faire passer pour un fou dans le métro.)
Je me répète, un simple sourire suffit !
Mais pourquoi ?
Tout simplement car les rapports aux autres sont différents ! Il est toujours plus facile d’aborder les autres et de se faire aborder lorsque l’on à l’air un minimum enjoué ! Et vous verrez le simple fait de sourire suffit parfois à se dire « je suis heureux de vivre, quelle belle journée ! ».
J’admets être d’un positivisme presque agacent et que cela ne peut pas fonctionner sur tout le monde, néanmoins, cela marche pour moi. Alors pourquoi pas vous !!?
Samantha Jimenez